Grossesse et élégance : les règles d’or des Ladies pour s’habiller avec chic malgré une mode très restreinte
Ta-dam ! Cette fois, la vedette de la publicité, c’est vous.
Imaginez-vous debout face à la fenêtre. Vous admirez le coucher du soleil. Votre main droite est posée sur votre ventre arrondi.
Le ciel devient rose. La lumière dorée du soleil vous réchauffe l’esprit. Une musique de Vivaldi se fait entendre derrière vous.
Vous êtes heureuse.
Vous vous sentez pleinement à votre place.
Vous vous sentez épanouie comme jamais avec ce petit bébé dans votre ventre.
« Coupez ! » crie le réalisateur qui se cache dans votre tête. La bande du film s’arrête brutalement.
La grossesse comme un doux rêve, vous n’y croyez peut-être plus.
Ou en tous cas, autour de vous, on vous a suffisamment répété que ce n’était pas une partie de plaisir. Vous rejouez en boucle les récits des femmes enceintes de votre entourage : vergetures, poitrines douloureuses, peau d’orange sur les cuisses, acné d’ado, perte de dents, chevilles enflées, carte du métro parisien décalquée sur les seins… comme le dit Florence Foresti.
Peut-être appréhendez-vous également toute cette animalerie de grossesse :
« Je marche en canard »,
« Je suis grosse comme une baleine »,
« Je respire comme un âne ».
Les médias vous inondent de récits de femmes aux corps fatigués, déformés, déprimés. Vous détestez l’humour des mères blasées qui vous disent que votre vie se finit à la naissance de bébé.
Pire encore : en pharmacie, vous êtes horrifiées de découvrir le rayonnage de grossesse. Est-ce une maladie si grave ?!
Le rayonnage des librairies destiné aux femmes enceintes vous fait défaillir : 1001 maux pour votre grossesse.
Quant aux prix pratiqués pour équiper bébé, c’est à s’arracher les cheveux.
Devenir parent est un véritable parcours du combattant.
Vous vous sentez seule contre tous.
Vous essayez alors de vous protéger en boycottant tous ces discours négatifs. Le problème de cette méthode est que vous manquez également les informations positives.
Vous essayez de tenir un discours « tout va bien ». Et là : c’est comme si vos interlocuteurs se transformaient soudainement en procureurs pour vous convaincre que « vous vous êtes trompée, vous n’allez pas bien du tout en fait ».
Vous prenez alors la décision de n’avoir qu’un seul enfant. Vous allez survivre à cette grossesse, et après… rien. C’est fini. L’épreuve sera passée.
STOP ! Arrêtez avec ces pensées destructrices.
Ce n’est pas votre faute si vous vous sentez mal, ou si vous appréhendez la grossesse.
TOUT autour de vous vous conduit à croire que la grossesse est une maladie, une période difficile, le début de la fin.
Le battage médiatique autour de la grossesse et de l’enfant comme « problème à résoudre » est colossal.
C’est ce que l’on appelle le marketing de la peur. Cela fait dépenser plus d’argent que le bonheur.
On vous répète que vous avez des problèmes jusqu’à ce que vous soyez suffisamment abrutie de fatigue pour le croire.
Résultat : vous endossez votre costume de femme-super-héros pour vaincre la grossesse, survivre à la grossesse, gagner le combat de la grossesse…
Voilà le cœur du problème.
Vous vous transformez en Superman.
Or, Superman ne peut pas être enceinte. Il ne sera jamais une bonne maman… car il est un homme.
Seule une femme peut devenir mère.
Lorsqu’on tue votre maternité, vous vous sentez mal.
Et c’est normal. C’est un sain réflexe de votre âme, de votre corps et de votre intellect.
La solution est de vivre votre grossesse en tant que femme.
Notre société moderne fait de nous des hommes. C’est difficilement vivable au quotidien. Durant la grossesse, c’est insupportable.
Ce malaise est si profond qu’il se traduit par des prises de poids excessives, des démangeaisons, des fatigues chroniques, des rejets du corps, des crises d’angoisse, etc. C’est grave.
Le secret est de vivre sa grossesse en tant que femme féminine.
La redondance est voulue pour que le message passe bien.
La maternité et la féminité sont puissamment liées.
La meilleure façon de découvrir et de vivre votre féminité est de vous habiller en femme. Le fait d’endosser un costume vous fait devenir ce personnage.
Rappelez-vous : en portant le costume de Superman, vous devenez ce warrior du combat.
Même chose pour la maternité sereine : en vous habillant avec élégance, féminité et décence, vous devenez une mère comblée de grâces.
Et ce n’est pas peu dire.
Pour accéder rapidement et efficacement à cette béatitude des femmes enceintes épanouies, heureuses et sereines, voici une méthode de féminité concentrée :
« Grossesse et élégance : les règles d’or des Ladies pour s’habiller avec chic malgré une mode très restreinte »
C’est un programme de 2h30 en vidéo qui enseigne les codes du bon goût pour les femmes enceintes.
L’enseignement repose sur les 3 piliers essentiels des Ladies : l’élégance, la décence et la féminité.
C’est en vous habillant bien que vous vous sentirez bien.
Ne sous-estimez pas cette règle fondamentale.
Dès aujourd’hui, vous allez pouvoir admirer le coucher du soleil tranquillement.
La femme de la publicité : ce sera vous au quotidien.
Ce doux rêve sera votre réalité.
Pas de prise de poids massive.
Pas de luttes avec votre corps, pas de sentiments d’impuissance, pas de renoncement à de futures grossesses.
Vous allez réellement profiter de votre état béni. Ce sera une période d’épanouissement profonde.
Autre point à souligner : vous ne serez pas le « boulet » de votre mari. Il vivra cette grossesse en harmonie avec vous. Votre famille se construira solidement parce que vous serez belle et vous vous sentirez belle.
Ces mois de grossesse sont l’occasion rêvée d’embrasser votre féminité.
Imaginez seulement le cadeau que vous ferez à votre enfant en étant un repère fiable dans sa construction de valeurs.
Observez autour de vous :
– Kate Middleton a 3 enfants non parce qu’elle en a les moyens financiers ou parce qu’elle a des nounous à sa disposition. Mais bien parce qu’elle est une femme féminine. Sa maternité heureuse est corrélée à sa féminité (dont l’expression est, également, vestimentaire).
– Les mères de famille nombreuses… sont minces et heureuses. Elles ont beaucoup d’enfants non parce qu’elles sont des intégristes religieuses ; mais bien parce qu’elles vivent leur maternité comme des femmes… et non des hommes.
– Rappelez-vous les expériences vestimentaires que vous avez menées sur vous-mêmes. Lorsque vous portez l’uniforme d’invisibilité moderne « blue-jeans + haut noir », comment vous sentez-vous ? Et à l’inverse, lorsque vous portez une robe claire avec des fleurs, comment respirez-vous ?
Oui, même notre respiration est différente lorsqu’on se sent bien.
Sous peu, vous allez :
– Apprendre les principes du bon goût
– Savoir où chercher les bons vêtements
– Déployer votre grâce féminine et maternelle au lieu de l’étouffer
– Expérimenter les vertus du minimalisme chic
– Identifier facilement les vêtements qui vous mettent en valeur
– Apprendre les astuces pour cacher votre ventre lors du 1er trimestre de grossesse
– Jouer avec les techniques visuelles pour mettre en valeur ce même beau ventre arrondi lors du 2e et 3e trimestre
– Soulager les lourdeurs de grossesse par des vêtements confortables
Maintenant, vous avez 2 possibilités :
La première : c’est de ne rien changer. Si vous préférez serrer les dents et attendre que ça passe, c’est jouable. Dans quelques mois, la grossesse sera finie. Vous pourrez soupirer (et/ou regretter d’être passée à côté de quelque chose de précieux et fondamental).
Dans un an, il se peut que vous ayez encore les kilos de grossesse en souvenir.
Et dans 5 ans, il se peut même que vous ayez rejoint le club des « blasées de la grossesse » qui ont à cœur de gâcher la vie des femmes enceintes.
La deuxième : c’est de comprendre que la féminité est le point central de votre maternité et d’appliquer les règles de bon goût vestimentaire pour devenir une lady épanouie.
Cette formation va vous aider à devenir cette lady sereine et comblée de grâces.
Pour accéder aux formations cliquer le lien ci-dessous
https://hannagas.podia.com/grossesse-elegance
A toute de suite de l’autre côté,
Hanna
PS : N’oubliez pas : la bienséance fait la différence…