Pour parfaire votre formation de lady et de gentleman :
5 comments
Raingarde says:
Chère Hanna, merci beaucoup pour votre site. J’ai apprécié cette vidéo pleine de générosité, mais il me semble qu’avant d’accepter d’être parrain ou marraine, surtout la première fois, il faut prendre le temps de la réflexion, et savoir à quoi l’on s’engage. Je ne parle pas des cadeaux, bien sûr, mais de la prière et du témoignage de la vie chrétienne.
Et pour commencer, il faut être baptisé catholique et avoir reçu le sacrement de confirmation : ne riez pas, mais nombre de parents qui demandent à leurs meilleurs amis d’être parrain et marraine en méconnaissent les premières conditions…
A ce que j’ai compris d’un prêtre et de la préparation au baptême, le parrain ou la marraine doit être au minimum baptisée. Sinon, elle peut être notée comme « témoin », mais un autre baptisé doit signer le registre et l’acte de baptême. Même juste pour la signature, si les parents ont choisi un parrain pour remplir un rôle d’accompagnement laïc.
Un seul parrain ou marraine suffit.
Il me semble qu’un baptisé non catholique peut être parrain. Orthodoxe peut être, mais je suis moins sûre pour un protestant? Si quelqu’un peut confirmer.
Ah ben moi je souffre de ne jamais être demandée en marraine. Je ne dois pas être assez bien pour les gens, même qui me disent avoir du mal à trouver des parrains et marraines.
Tout le monde n’est pas d’accord, y compris parmi les Catholiques.
On doit pouvoir refuser. Et ce n’est pas parce qu’on peut prier pour son filleul qu’on le fera nécessairement. L’exemple de vie et de foi qu’on représente est aussi à prendre sérieusement en considération.
Certes, trouver des parrains et marraines peut être difficile, surtout après le premier enfant, quand on est dans des familles peu nombreuses ou peu pratiquantes, ou quand notre réseau amical n’est pas assez étendu et surtout profond, ou après un déménagement…
Nous avons essuyé deux refus de parrains. Un d’un prêtre, car il « a déjà assez de filleuls » et un autre d’une personne « qui ne savait pas ce que l’avenir lui réserve ».
Encore faut-il être au clair avec ce que l’on souhaite pour les parrains, un accompagnement spirituel. Car certains s’imaginent qu’ils auront la responsabilité d’élever l’enfant après le décès des parents, ce qui n’est pas le cas. Ou que c’est juste un accompagnement amical avec cadeaux. Certains encore estiment qu’une fois parrain ils ont droit à cet enfant, et ils ou les proches vont faire un foin lorsque les parents lui refusent de prendre l’enfant en vacances…
Finalement, une fois on n’a du se rabattre sur le dernier choix possible, qui équivalait à une personne pour la signature et la médaille (merci!).
Chère Hanna, merci beaucoup pour votre site. J’ai apprécié cette vidéo pleine de générosité, mais il me semble qu’avant d’accepter d’être parrain ou marraine, surtout la première fois, il faut prendre le temps de la réflexion, et savoir à quoi l’on s’engage. Je ne parle pas des cadeaux, bien sûr, mais de la prière et du témoignage de la vie chrétienne.
Et pour commencer, il faut être baptisé catholique et avoir reçu le sacrement de confirmation : ne riez pas, mais nombre de parents qui demandent à leurs meilleurs amis d’être parrain et marraine en méconnaissent les premières conditions…
Oh oui ! Vous avez raison !
L’évêque peut signer une dérogation : mais est-ce alors la bonne personne pour le témoignage de la vie chrétienne…
A ce que j’ai compris d’un prêtre et de la préparation au baptême, le parrain ou la marraine doit être au minimum baptisée. Sinon, elle peut être notée comme « témoin », mais un autre baptisé doit signer le registre et l’acte de baptême. Même juste pour la signature, si les parents ont choisi un parrain pour remplir un rôle d’accompagnement laïc.
Un seul parrain ou marraine suffit.
Il me semble qu’un baptisé non catholique peut être parrain. Orthodoxe peut être, mais je suis moins sûre pour un protestant? Si quelqu’un peut confirmer.
Ah ben moi je souffre de ne jamais être demandée en marraine. Je ne dois pas être assez bien pour les gens, même qui me disent avoir du mal à trouver des parrains et marraines.
Tout le monde n’est pas d’accord, y compris parmi les Catholiques.
On doit pouvoir refuser. Et ce n’est pas parce qu’on peut prier pour son filleul qu’on le fera nécessairement. L’exemple de vie et de foi qu’on représente est aussi à prendre sérieusement en considération.
Certes, trouver des parrains et marraines peut être difficile, surtout après le premier enfant, quand on est dans des familles peu nombreuses ou peu pratiquantes, ou quand notre réseau amical n’est pas assez étendu et surtout profond, ou après un déménagement…
Nous avons essuyé deux refus de parrains. Un d’un prêtre, car il « a déjà assez de filleuls » et un autre d’une personne « qui ne savait pas ce que l’avenir lui réserve ».
Encore faut-il être au clair avec ce que l’on souhaite pour les parrains, un accompagnement spirituel. Car certains s’imaginent qu’ils auront la responsabilité d’élever l’enfant après le décès des parents, ce qui n’est pas le cas. Ou que c’est juste un accompagnement amical avec cadeaux. Certains encore estiment qu’une fois parrain ils ont droit à cet enfant, et ils ou les proches vont faire un foin lorsque les parents lui refusent de prendre l’enfant en vacances…
Finalement, une fois on n’a du se rabattre sur le dernier choix possible, qui équivalait à une personne pour la signature et la médaille (merci!).