Comment Jean a réussi à trouver un bon emploi malgré son absence d’expérience
Jean était un jeune homme ambitieux de 25 ans. Il avait de grandes aspirations pour sa carrière, mais il se sentait souvent découragé par son manque de succès. Il avait postulé à plusieurs emplois, mais n’avait jamais reçu de réponse.
Parcours classique des jeunes qui arrivent sur le marché du travail.
Un jour, Jean a trouvé un vieux livre intitulé « Le guide de la correspondance » dans la bibliothèque de sa grand-mère. Il a commencé à étudier les techniques de rédaction de lettres enseignées dans le livre, qui avait été publié dans les années 1950.
Armé de ce nouveau savoir-faire, Jean a commencé à écrire des lettres pour postuler à des emplois, pour solliciter des recommandations et pour proposer ses services.
Au début, il a reçu peu de réponses. Mais il n’a pas abandonné. Il a continué à affiner sa technique, à s’entraîner et à apprendre.
Finalement, son travail acharné a porté ses fruits. Il a écrit une lettre de recommandation pour un ami qui cherchait un emploi dans la même entreprise où il avait échoué auparavant. Cette lettre a impressionné le directeur de l’entreprise.
Pas au point de l’embaucher, mais assez pour le recommander auprès de son ami entrepreneur… qui, lui, l’a embauché.
Tout est une affaire de réseau.
La morale de cette histoire est que les échecs peuvent être des opportunités pour apprendre et grandir. En prenant en main sa communication et en maîtrisant l’art épistolaire, Jean a pu transformer sa carrière et atteindre le succès financier qu’il avait toujours recherché.
A l’ère du tutoiement intempestif, des smileys incompréhensifs, et de l’appauvrissement de la langue française, maîtriser les codes traditionnels de la correspondance épistolaire est devenu une compétence rare.
Et tout ce qui est rare est hautement valorisé.
PS : N’oubliez pas : la bienséance fait la différence…
BB#63