Combien de clins d’œil un homme a-t-il le droit de faire à une femme dans la journée ?
Combien de clins d’œil un homme a-t-il le droit de faire à une femme dans la journée ? dans le mois? dans l’année ? Un gentleman peut-il faire des clins d’œil ? Est-ce convenable ?
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Le clin d’oeil suppose un lien personnel, il signifie « on se comprend, juste nous deux », et il peut être surpris par d’autres. Cela montre donc chez celui qui le fait une bonne dose de confiance quant à la relation qu’il a à l’autre.
Je dirais que c’est à exclure pour séduire une jeune femme. Si mon mari, mon frère, mon père me fait un clin d’oeil, cela me paraît sympathique, avec d’autres c’est bien plus délicat ; peut-être un très vieil ami du couple peut-il se permettre cela.
Mais c’est aussi une question de caractère et d’état d’esprit : certaines personnes taquines le feront dans un esprit sain et naturel, et cela passera !
Merci beaucoup chère Amaëlle pour votre contribution. Ce lien familial que vous citez est donc capital pour le clin d’oeil « sain ». Merci d’avoir pris le temps de m’écrire.
Amicalement,
Hanna
Chère Madame,
En dehors de la situation de connivence amoureuse ou conjugale que vous mentionnez ou d’un éventuel contexte festif et amical, humoristique ou parodique, je suis d’avis que le clin d’œil doit être évité. Je le trouve pour ma part (c’est mon côté vieux-jeu) plutôt vulgaire, et l’anecdote que vous rapportez en est une illustration.
Cher Monsieur,
Merci beaucoup pour votre point de vue, et merci d’avoir pris le temps de m’écrire. Votre précision fait sens, merci.
Appelez-moi Hanna, je vous en prie. La proximité du blog et de la chaîne Youtube le permet.
Amicalement,
Hanna
Merci, chère Hanna, ce sera avec plaisir.
Bonjour Hanna,
Totalement d’accord avec les deux commentaires précédents. Les clins d’oeil sont à éviter sauf dans un contexte de très grande complicité familiale. Pour ma part, je n’ai reçu récemment de clins d’oeil que d’un homme aviné en fin de mariage… pas vraiment gentleman ! (Il m’a ensuite invitée à danser, je vous laisse imaginer la gêne dans laquelle j’étais, mon mari à côté de moi et tout le monde qui me regardait… je ne pouvais pas refuser. J’ai prié intérieurement pour que ses mains ne descendent pas pendant la danse (heureusement elles sont restées à leur place) !
Oh ! Comme je compatis ! Cela a dû être tellement gênant.