Le temps nous file entre les doigts. C’est un fait. Nos agendas se remplissent plus vite que jamais. De nos jours, plus personne n’a le temps de rien faire. Un simple café avec votre meilleure amie s’organise dix jours à l’avance. Un week-end en amoureux, six semaines à l’avance. Un rendez-vous « urgent » chez le médecin est programmé six mois à l’avance !
Il faut constamment jongler entre les rendez-vous professionnel, familial, amoureux et amical. L’agenda se remplit tout seul. Poser une date et s’y tenir est devenu plus difficile qu’autrefois et ce malgré le fait que tout le monde possède un portable, une voiture et un calendrier. Et je ne mentionne même pas le cas des parents avec des enfants en bas âges. Déjà il est difficile de programmer une rencontre, mais en plus une fois sur trois elle est annulée pour cause de « le petit est malade ».
Voici le calendrier pour envoyer les invitations dans les règles de l’art :
- Pour une grande réception, une invitation s’envoie quatre semaines avant la date — six semaines à deux mois pour un mariage —, en particulier dans les mois chargé de mai, juin ou de l’été.
- Pour un repas, quinze jours de préavis sont nécessaires.
- Pour des réunions intimes, quelques jours suffisent.
Lorsque le délai est un peu long, il est prudent et poli d’envoyer un « pour mémoire » qui rappellera aux invités la date retenue. C’est-à-dire que vous renvoyez le carton d’invitation barré en diagonal avec inscrit « P.M. » en grandes lettres. Ou pour les plus courageux : « Pour mémoire ».
Sur l’invitation, il faut indiquer la date, l’heure, et le lieu. Selon les occasions, vous pouvez également préciser la tenue souhaitée.
Combien de temps à l’avance faut-il lancer les invitations ? – Conclusion
Paradoxalement, ce calendrier est devenu caduc. Il faudrait l’allonger. La date des mariages se programme souvent plus d’une année à l’avance. Les baptêmes : quatre mois à l’avance. J’ai même envie de dire : le réveillon du Nouvel An s’organise dès le mois de septembre, voire octobre pour les retardataires.
