Cours de savoir-vivre avec Nadine de Rothschild : le grand reportage !

Cours de savoir-vivre avec Nadine de Rothschild

 

Cours de savoir-vivre avec Nadine de Rothschild : le grand reportage !

 

Bonjour,

 

Aujourd’hui, je vous présente un reportage sur les cours d’étiquette. C’est une lectrice brésilienne qui me l’a envoyé. (Merci Ana !)

 

Je me souviens l’avoir déjà vu en 2004 (ou à sa sortie à la télévision peut-être…) ; et j’ai eu un grand plaisir à le revoir.

 

Ce reportage recoupe 4 ou 5 histoires différentes. Les « protagonistes » sont très attachants. On y retrouve Nadine de Rothschild elle-même, du temps où elle avait son école des Bonnes Manières. J’aime la partie où elle dit qu’elle-même personnellement incarne la réussite grâce aux bonnes manières. C’est un bel argument de vente 😉

J’aime aussi son insistance sur le fait que les bonnes manières pour une jeune fille l’aideront à trouver un mari. Je sais que les néo-féministes peuvent critiquer cela en caricaturant les traits.

Il est certain que l’apprentissage des bonnes manières n’a pas pour unique fin de trouver un mari ; mais il est tout aussi vrai qu’être une femme polie facilite la quête de l’âme sœur.

 

Dans ce reportage sur les cours de savoir-vivre, j’aime tout particulièrement l’éducateur des cités (de Marseille ? je ne sais plus). Il y croit. Voilà, c’est ça. Il y croit avec une conviction que je partage au plus profond de mon cœur.

On voit la fatigue sur son visage (bien qu’il essaye de garder bonne figure devant la caméra), et on voit que son public n’est pas « facile ». Mais il y croit. Il est convaincu que l’apprentissage des bonnes manières est la clé d’une meilleure vie pour les enfants. C’est admirable.

 

On retrouve également des Japonais en France et chez eux au Japon. J’ignorais que leur culture ne connaissait pas la galanterie. Par contre, ils sont d’une courtoisie incroyable. Je pense que comme moi, vous sourirez à votre écran en visionnant l’accueil des hôtes dans leur maison. C’est à qui s’excusera le plus.

 

Le « personnage » le plus attachant reste cette belle femme de 48 ans qui s’inscrit dans une école de « butlers »/maîtres d’hôtel. Deux mois de formation intensive. 12 000 euros déboursés. Le niveau est très élevé. Les diplômés de cette école gagnent ensuite en tant que « butler » 10 000 euros par mois en moyenne, et jusqu’à un million par an. Ces chiffres sont là pour vous donner une idée du niveau attendu et du dévouement intégral qu’il faut avoir pour son employeur.

On voit réellement la difficulté de l’étiquette. La théorie est une chose, la pratique en est une autre.

 

Ce reportage de savoir-vivre dure plus d’une heure. C’est long, mais fort instructif.

 

 

Pour ceux qui n’ont pas le temps, je vous sélectionne ici les meilleurs morceaux.

 

Cours de savoir-vivre avec Nadine de Rothschild et d’autres instructeurs :

 

 

  • On ne fait jamais de baisemain à sa maîtresse.

 

  • Lors de la visite officielle d’un chef d’Etat étranger en France, le protocole veut que l’on joue d’abord l’hymne de son pays, puis la Marseillaise.

 

  • Lorsqu’on pousse la chaise de quelqu’un pour l’aider à s’asseoir, on tient le dossier avec les deux mains, et on pousse le pied de la chaise avec son pied. C’est plus simple !

 

  • Lorsqu’on sert un petit-déjeuner au lit à ses employeurs, il y a une façon différente de servir Monsieur et Madame. On sert Madame sans la regarder. Question de pudeur.

 

  • Au Japon, le mode silencieux du portable est appelé « mode politesse ».

 

  • Toujours au Japon, la maîtresse de maison sert l’alcool à son mari et aux invités. Elle-même ne mange pas à table. Elle sert.

 

  • Sur les grandes tables, il devrait y avoir 2 cm d’espace entre chaque couvert. Un samedi soir entre amis, ou même dans un restaurant non-étoilé : c’est impossible. Cela prendrait trop de place.

 

 

Voilà, voilà.

Si vous avez des suggestions de reportages sur les bonnes manières pour moi, écrivez-moi 🙂

Merci par avance !

 

 

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