Carton d’invitation : comment formuler une demande de participation financière à ses invités ?

Bristol d’invitation : comment formuler une demande de participation financière à ses invités ?

 

Vous souhaitez organiser une grande fête pour vos 30 , 40 ou 60 ans ? Ou peut-être avez-vous pris sur vous d’organiser un anniversaire surprise pour votre frère ? Ou encore planifiez-vous déjà le Réveillon du Nouvel An ?

Votre problème du moment est le financement de la soirée. Oui, il est difficile d’en faire abstraction.

Comment formuler avec élégance une demande de participation financière à ses invités ?

 

Réponse en vidéo !

 

 

Apprendre les bonnes manières est un site qui tente de couvrir de nombreuses thématiques. Actuellement plus de 250 articles se trouvent archivés sur le blog. Ils concernent l’étiquette, la galanterie, la courtoisie, le protocole, la bienséance, la politesse et le savoir-vivre.

Pour s’orienter facilement et trouver efficacement l’information désirée, voici un petit guide :

 

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11 comments

  1. The Black Cat says:

    Pour une soirée du Nouvel An, avec amis et famille (soeurs et beaux frère), ma propre soeur me fait payer une participation… Et, comme vous le faites si bien remarquer, cela me laisse un goût amer…
    Et les personnes qui boivent de l’alcool lors de cette fête payent plus cher. De quoi oublier le côté festif…

    • JeuneLady says:

      Je me retrouve parfaitement dans ce que vous dites.
      Si encore le montant était annoncé dès le départ et qu’il y aurait une possibilité de décliner l’invitation poliment (« ah! désolée, on est déjà pris ce soir-là »), ce serait jouable. Mais le goût amer resterait (les faux frais d’une soirée ne sont pas à minimiser: transport, tenue, hôtel, restauration annexe, parfois petit cadeau…). Je me souviens d’une réception participative où nous avons eu le plaisir de découvrir le montant de l’addition sur place seulement. Dur dur…

      • The Black Cat says:

        Je suis d’accord avec vous pour les frais annexe, et cela peut être difficile à gèrer, surtout quand on vient seulement de commencer sa vie active !
        Heureusement, concernant les soirées du Nouvel An an de ma soeur, je suis prévenue en avance… votre expérience personnelle a dû être très amère ! J’aime venir à ses soirées alors je paye quand même, mais je ne sais pas comment lui parler de ce « détail » désagréable.

        • JeuneLady says:

          Oui, on choisit souvent d’y aller « malgré ce désagrément ». Prochainement, je vais essayer de recueillir autour de moi (lectures et échanges) des avis sur « comment aborder ce genre de situations avec sa famille/ses amis très proches ». J’espère que quelqu’un a la formule magique… d’ici là, on continue à inviter gratuitement et à profiter des fêtes payantes. Deux poids, deux mesures…
          Bonne journée 🙂

  2. Mélo says:

    Je suis triste d’entendre cette vidéo car je ne partage pas cette conviction.

    Voici la définition du mot « inviter » dans le dictionnaire du petit Larousse : Prier quelqu’un de venir, de se trouver à un endroit donné, à participer à quelque chose.
    Quelques exemples :
    1 Je vous invite à me suivre.
    2 Je vous invite à passer à la maison quand vous le pourrez.
    3 Je vous invite à acheter ce livre.
    4 L’association « blabla » vous invite à sa soirée de fin d’année, le 25/12/2018, prévoir 10E/pers…
    5 Vous êtes invité à venir découvrir l’Australie, prix du séjour 1500E…
    6 Vous êtes invités à nos frais pour célébrer notre mariage le 12/05/2019…
    7 Mes amis je vous invite à faire un bowling ce soir, qu’en dites vous ?
    Inviter quelqu’un, ne veut pas forcément dire, que tous les frais sont pris en charge, juste que l’on propose de faire quelque chose.

    Lorsque je suis invité à venir célébrer un évènement, je suis heureuse d’aller partager ce moment avec des personnes qui me sont chères. Je n’y vais pas uniquement pour avoir un repas tout frais payer.
    Le fait de demander à chaque personne une participation lorsque les finances ne permettent pas de réunir tous ceux qui sont importants aux yeux des organisateurs, me parait logique. Bien sûr si cette clause est explicite dès le départ.

    J’ai déjà été invité plusieurs fois à des évènements de ce type et cela me parait tout à fait normal.
    Car quand j’aime quelqu’un, son bonheur lors d’une occasion spéciale, me parait plus important que le prix d’un repas, d’un déplacement et de l’achat de vêtements (si je n’en ai pas déjà).
    Le but est de passer du temps ensemble avant tout! Pas de profiter de l’argent des autres.

    Pourquoi ruiner une seule personne ou réduire le nombre d’invités alors que, si, tout le monde y met un peu du sien, une belle fête aura lieu, où, tous les cœurs auront été empli de joie et personne n’aura été lésé?

    • Hanna GAS says:

      Bonjour,

      C’est l’un des article les plus populaires du blog. Cela traduit le réel changement de mœurs de notre époque. Les fêtes participatives n’ont rien de mauvais (à condition que cela soit précisé dès le départ) comme vous le dites.
      L’enjeu ici (au delà des bonnes manières) est le choix des mots. Le mot « invitation » et « inviter » a perdu son sens premier. C’est comme quand les enseignes de grands magasins disent « vous allez faire des économies ». C’est faux. Vous allez dépensez moins, peut-être, mais pas faire des économies. Faire des économies signifie « mettre de l’argent de côté ». C’est le même cas de figure pour les commerciaux qui vendent des fenêtres double vitrage par exemple. Ils disent vous « investissez ». C’est faux. Un investissement est quelque chose qui rapporte de l’argent. Là, au mieux, on en dépense moins (en chauffage), mais les fenêtres ne font pas rentrer de l’argent dans le portefeuille tous les mois.

      Une invitation suppose la gratuité.
      Comme vous le dites bien : le plaisir d’être ensemble vaut la somme, et donc on participe bien souvent de bon coeur.
      Mais pas toujours, il y a de nombreuses exceptions. Et c’est alors que cela fait mal au porte-feuille et surtout à son amour-propre. Un exemple: dans le cas où vous êtes le +1. La fête participative (je ne parle pas d’un dîner à 30 euros, mais d’un anniversaire à l’autre bout du pays) est du côté de votre compagnon. Vous n’appréciez pas spécialement les personnes. Nous n’êtes pas ennemis, mais bon, c’est sans plus. Et financièrement, cette année c’est difficile. Donc au final, soit vous participez à l’anniversaire d’inconnus, soit vous mettez cet argent pour vos vacances.
      Répétez ce scénarios trois années de suite, et vous sentez la lassitude.
      C’est un exemple parlant. Si on avait tous du temps et de l’argent, la question ne se poserait pas. Mais avec ces deux contraintes, on comprend davantage pourquoi cette insistance sur le principe de gratuité de l’invitation.

      Amicalement,

  3. anna says:

    votre video est très bien , mais pour un blog sur les bonnes pratiques, il faudrait commencer par dire « il va être question », et non « il va t etre question »…bonne continuation

  4. Chachou says:

    Bonjour, merci pour cette vidéo passionnante.

    En effet, je suis d’avis qu’une invitation suppose la gratuité. Cependant il est de plus en plus courant qu’on ait envie de faire des événements dit « participatifs ». Je trouve que c’est un formidable moyen de multiplier les occasions de se voir et de passer de bons moments avec un plus grand nombre de convives que l’hôte pourrait se le permettre en temps normal. Je ne vois aucun problème à cela. Cependant, il me semble primordial que l’aspect participatif soit mentionné dès le départ. Un exemple récent qui m’a réellement gênée et prise au dépourvu: j’ai été invitée deux mois à l’avance à un anniversaire. Invitation que j’ai acceptée une semaine plus tard. Au bout d’un mois, notre hôte nous contacte par message de groupe (whatsapp) pour nous indiquer qu’il s’agit d’un événement participatif et qu’il faut prévoir une certaine somme par personne. J’ai trouvé cela très mal venu croyant avoir répondu à une invitation et non à un événement participatif. Cela impactant et chamboulant tout le budget prévu et qui était un facteur d’acceptation de cette invitation. De plus, j’avais déjà réservé mes billets de train pour me rendre sur place. Ce n’est pas un problème d’argent en soit car je pouvais tout à fait me permettre cette participation. Mais la clarté sur ce point dès le début aurait pu éviter ce malaise qui, je dois bien l’admettre, me reste en memoire autant que le beau weekend passé tous ensemble. Vraiment dommage.

    Que pensez-vous de ces invitations participatives toujours plus nombreuses? Y aurait-il un moyen vraiment acceptable de les proposer? Peut-on simplement changer le nom de l’événement? Remplacer « invitation » par « invitation à un anniversaire participatif » par exemple?

    • Hanna GAS says:

      Bonjour,
      Votre anecdote résume très bien ma pensée et mes sentiments. J’ai aussi été plusieurs fois victimes de ces invitations où la partie financière n’est révélée qu’après l’acceptation. Je me suis sentie piégée.
      Les mœurs évoluent. La généralisation des événements participatifs n’est pas grave en soi (bien qu’à titre personnel, je ne me vois pas organiser un tel événement); toutefois il faut alors donner les règles du jeu et les conditions financières dès le début. C’est essentiel. Sinon, c’est un piège amère (que le cerveau essaye d’oublier avec le temps, certes, mais cela reste grossier). Il est impératif que les organisateurs donnent toutes les informations financières avant que l’on accepte ou non de venir. C’est alors une réelle liberté de venir ou non.
      De plus, la notion d’argent entre en ligne de compte. Et là, pour reprendre l’expression de feu ma grand-mère: un riche ne comprendra jamais un pauvre; tout comme un pauvre ne comprendra jamais un riche. 20 ou 50 ou 100 euros représentent des réalités bien différentes pour nous tous. Pour certains, c’est « rien » ou d’autres c’est la facture d’électricité mensuelle, et pour d’autres encore c’est tout le budget alimentation du mois.

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